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28 décembre 2014 7 28 /12 /décembre /2014 22:26

On a offert à Miss E le joli livre Estelle Bébé Coccinelle De Antoon Krings 

 

"Estelle adore les fleurs et les arrose avec amour. Et voilà que ces demoiselles grandissent, grandissent… La petite Estelle doit se tordre le cou pour les admirer alors que Simon, le bébé papillon, vole autour des fleurs et profite de leur beauté. Estelle se fâche, saute en l'air et hop! la voilà qui vole aussi…"


 

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25 décembre 2014 4 25 /12 /décembre /2014 21:13

Le "nouveau" musée de Montmartre a réouvert depuis octobre 2014.

Certainement le musée le plus charmant de Paris ! Il a été créé en 1960 dans la bâtisse la plus ancienne de la Butte, construite du XVIIe siècle : la Maison du Bel Air.
Lieu de rencontres et de résidence, le 12 rue Cortot attira de nombreux artistes. Auguste Renoir y eut son atelier tout comme Suzanne Valadon, Émile Bernard et les fauves Émile-Othon Friesz et Raoul Dufy.

 

"La balançoire de Renoir" a été peint ici, elle offre bien des points communs avec Bal du moulin de la galette. Les deux ont été exécutés parallèlement au cours de l'été 1876. Les modèles de La balançoire, Edmond, le frère d'Auguste Renoir, le peintre Robert Goeneutte et Jeanne, une jeune Montmartroise, figurent parmi les danseurs du Bal. Une même atmosphère d'insouciance imprègne les deux tableaux. Comme dans le Bal, Renoir a surtout cherché à traduire les effets de soleil qui éclairent la scène, filtrés par les feuillages. Les vibrations lumineuses sont rendues par des taches de couleurs claires, en particulier sur les vêtements et le sol. Voilà qui déplut particulièrement aux critiques lorsque le tableau fut montré à l'exposition impressionniste de 1877. La balançoire a néanmoins trouvé un acquéreur : il s'agit de Gustave Caillebotte, qui acheta également Bal du moulin de la galette.(Texte du musée d'Orsay)

Le Sacré-Coeur de Montmartre au loin. et l'hôtel Demarne à droite.

 

 

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"Je cherche fortune Autour du Chat Noir, Au clair de la lune, A Montmartre, le soir. ..."
Des générations ont entonné cette chanson qui célébrait "le cabaret le plus extraordinaire du monde", aux dires de son créateur Rodolphe Salis. 

le chat noir du musée s'appelle "Salis".

 

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Martyre des saints Denis, Rustique et Eleuthère

Denis décapité aurait marché vers le nord pendant six kilomètres, sa tête sous le bras, traversant Montmartre par le chemin qui sera nommé rue des Martyrs. À la fin de son trajet, il donna sa tête à une femme pieuse originaire de la noblesse romaine et nommée Catulla, puis s'écroula. On l'ensevelit à cet endroit précis et on y édifia une basilique  en son honneur. La ville s'appelle aujourd'hui Saint-Denis.

Le récit parle également de ses deux compagnons Éleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu'à Saint-Denis.

Les martyres étant habituellement représentés avec l'objet de leur supplice.

 

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Le mouin du blute-fin vers 1890 devenu plus tard le moulin de la galette, un des moulins de Montmartre. 

Montmartre est resté longtemps un village rural, organisé autour de son ancienne Abbaye et peuplé de paysans, d’artisans et de meuniers.

Aux 17e et 18e siècles, de nombreux moulins dressaient leurs ailes sur la Butte. Les quinze moulins officiellement reconnus avaient presque tous été érigés sur la ligne de crête.
Ces moulins ne servaient pas uniquement à moudre le blé, mais servaient aussi à presser les vendanges ou concasser les matériaux nécessaires aux manufactures. Ils représentaient aussi un but de promenade dominicale pour les Parisiens.

 

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  La belle cabaretière de Marcel Leprin 1924 

 

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Le théâtre d'ombres du cabaret du Chat Noir, ouvert en 1881, il fut le premier lieu d'avant-garde artistique de Paris. Pour la première fois, la police y autorisa un piano sur scène sur lequel Paul Delmet, Erik Satie, Claude Debussy... composèrent leurs musiques.

 

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 le théâtre d’ombres, ce décor onirique de plaques de zinc qui a fait la réputation du cabaret du Chat Noir.

 

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Une salle est dédiée au French Cancan,

 

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L'affichiste Francisque Poulbot vécut à Montmartre où il cotoie des enfants des rues. Il aime les peindre avec leur casquette sur la tête à la manière de Gavroche.Ce quartier était une source d'inspiration pour Poulbot. Il aimait représenter ces garçons débrouillards et défavorisés que l'on a vite surnommé les poulbots.

 

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Suzanne Valadon était le modèle de Renoir dans "Danse à la ville" 1883  qui est actuellement visible à l'exposition Paul Durand-Ruel au musée du Luxembourg et appartient aux collections du Musée d'Orsay.

 

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  Haut lieu de la création à Montmartre au début du XXe siècle, l’atelier-appartement de la rue Cortot fut successivement occupé par les peintres « fauves » Émile-Othon Friesz et Raoul Dufy, par Émile Bernard, compagnon de Gauguin, ou encore par les écrivains Léon Bloy et Pierre Reverdy. Suzanne Valadon vint s’y installer une première fois en 1898, puis y revient en 1912. Elle y resta jusqu’en 1926, avec son fils Maurice Utrillo et son compagnon André Utter. Valadon est restée célèbre pour être l’une des premières femmes peintres ; quant à Utrillo, il a laissé des vues inoubliables de Montmartre.
Après plusieurs décennies d’abandon, l’atelier reconstitué est ouvert au public depuis octobre 2014.

 

 

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j'aime la forme du bougeoir...

 

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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 23:07

Le Musée du Luxembourg présente la première exposition consacrée à Paul Durand-Ruel (1831 – 1922), le plus grand marchand d’art du XIXe siècle, découvreur des Impressionnistes et inventeur du marché de l’art moderne. Autour de Manet, Renoir ou Monet, le parcours réunit quatre-vingts chefs-d’oeuvre de l’impressionnisme et retrace le moment où une avant-garde artistique accède à la reconnaissance internationale sous l’impulsion d’un marchand passionné.

 

Les filles de Paul Durand-Ruel par Renoir 1882

 

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Paul Durand-Ruel appréciait aussi d'aures peintres dont Delacroix, Millet, Corot, etc....

 

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détail

 

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les deux petits personnages au bas de la falaise.

 

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détail

 

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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 21:14

14-12-14 Miss E      2 ans et deux jours.....

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 21:27

Miss E est impressionnée de rencontrer Saint Nicolas pour la première fois !!!!

 

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au museum d'histoire narurelle vendredi;

 

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28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 22:36

Miss E a prêté son ballon à un petit garçon qui lui a en retour prêté sa voiture téléguidée...

 

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Elle découvre Paddigton sur un abri bus.

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 23:14

Comme chaque année un sapin de Noël est installé devant Notre-Dame.

Mardi 18 au matin

 

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Mardi 18 soir

 

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jeudi 20 soir

 

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la galerie des Rois

 

 

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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 23:02

Miss E fait un petit round avec Barbapapa !!!

 

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ce matin au square, difficile de me faire enlever ma tétine !!!

 

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 23:01

Texte de présentation du musée Guimet : Après le règne de « l’auguste Empereur » Qin Shi Huangdi (221-207 av. J.-C.), les souverains de la dynastie Han (-206 av. J.-C. / 220 ap. J.-C.) trouvent les bases d’un empire unifié.

Pendant près de quatre siècles, ils l’affermiront et élargiront un territoire allant des confins de la steppe au nord de la péninsule indochinoise en s’appuyant sur une administration hiérarchisée, une économie agricole et une diplomatie favorisant les alliances lointaines et les échanges, notamment par la route de la soie.

Depuis près de quarante ans, les découvertes de premier ordre, révélant la richesse de l’art et de la culture de l’époque des Han n’ont cessé de se multiplier, renouvelant sans cesse l’archéologie chinoise. Ces oeuvres, appartenant principalement à la sphère funéraire évoquent l’art de vivre aristocratique aussi bien que les activités quotidiennes ; elles sont d’un humanisme saisissant et témoignent aussi des conceptions de l’au-delà prévalant durant ces quatre siècles. Il s’ouvre sur un espace mythologique foisonnant, séjour des immortels.

 

Parmi les splendides objets de cette exposition le linceul de jade de Liu Wu, troisième prince de Chu.

 

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le linceul lors de sa découverte en 1968.

 

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Un autre masque en jade, Condamné à mort  "par suicide"........

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 22:28

J'ai découvert cette artiste dont je ne connaissais que les Nanas dans cette très belle exposition. avec des oeuvres très diverses.

Niki de Saint Phalle, née Catherine-Marie-Agnès Fal de Saint Phalle, à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine, le 29 octobre 1930 et morte à La Jolla, comté de San Diego, Californie le 21 mai 2002.

La Cabeza n'a jamais voyagé au dehors des Etats-Unis et sa présentation à Paris est donc une première absolue en Europe. La Cabeza ou Tête de Mort (Grande) est un immense crâne, revêtu de miroirs et de pierres colorées. Les têtes colossales sont emblématiques de la civilisation olmèque, les crânes et squelettes étant les symboles majeurs du Jour des Morts et des célébrations religieuses d’origine précolombienne. Ils ont la fonction de "memento mori" destinée à rappeler la brièveté de la vie sur terre. La notion de mort et l’espoir d’une vie après, sont des thématiques présentes tout au long de la carrière de l’artiste, assez fragile de santé. Le message qu'elle veut nous faire parvenir avec ces sculptures est un message positif et d’espoir : "La mort n'existe pas, life is eternal". (texte du 104)

 

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détailde l'autel OAS

 

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